Affaire Seznec : La piste de Lormaye

Pierre Quémeneur a-t-il été assassiné par Guillaume Seznec à Lormaye ?

Affaire Seznec : Qui c'est ? C'est l'plombier !

"C'est une erreur de croire nécessairement faux ce qu'on ne comprend pas." (Gandhi)

Vous le connaissez le sketch de Fernand Raynaud ???

Vous le connaissez, n'est-ce pas ????

"Qui c'est ?????"

"C'est l'plombier !"

"Qui c'est ???"

Etc... Etc...

Oui, pendant que vous preniez votre petit thé tranquillou en ce beau dimanche, nous, on était trois zozos à se faire des peurs et à crever le tensiomètre....

Qui c'est ???

Tout a commencé avec cette histoire de généalogie.

Tiens, au fait, c'est sympa : sur Twitter, Bernd Scholze a fait une superbe place dans son journal au papier de ce blog sur la généalogie de Guillaume Seznec.

Merci tout plein à mes deux compagnons de labeur !

Et puis, avec moi, qui ne connaissais pas Brest... Et qui gonflais tout le monde pour en savoir plus sur le quartier chaud des Sept Saints...

Justement, je venais de recevoir et de commencer le bouquin de Gilbert Moreau : "L'hôtel de la femme sans tête - Dans un Brest oublié" aux éditions Les points sur les i (dans le cas actuel, ça s'invente pas un nom pareil....)

Quand, tout d'un coup, ça a remis ça sur Marie Priser.

Parce que la Marie...

Je peux vous dire que mes deux correspondants la recherchaient activement.

A défaut de la trouver.

Mais si souvenez-vous, la gentille petite main qui aurait (conditionnel) dactylographié les promesses de vente, selon Claude Bal.

Ce n'était pas là sa première qualité.

Sa première qualité, c'est qu'elle avait épousé le pote de Guillaume : Hilaire Métais, le plombier zingueur du 28 rue Kleber.

Et là aussi : le bec dans l'eau pour mes correspondants.

Et pour corser le tout...

Pas le moindre petit Métais né dans le Finistère.

Dans le Finistère, peut-être pas, mais dans la Vienne, si !

Tout plein. Trop même. SAUF que....

Hilaire Métais est né le 6 septembre 1886 à Courdemanche dans la Sarthe (72).

Il était fils de Gustave Métais cultivateur né à Lhomme (72) le 9/7/1862 et de Noémie Godefroy née à Courdemanche (72) le 12/8/1866.

Noémie Godefroy, la mère du Hilaire, est morte à Courdemanche chez ses parents le 26/9/1896 âgée de 30 ans.

Hilaire avait 10 ans et semblait fils unique.

Elle était domiciliée de fait à Courdemanche et de droit à Vouvray (37) où le père Gustave Métais était employé de tramway.

En février 1913, Hilaire habitait au 51 rue Auguste Comte à Tours (37) et il se marie en avril 1913 à Courdemanche.

Le 29 juillet 1914 il est au 20 rue Chalmel à Tours et en 1918 il est à Brest, 6 rue du Couédic. (Rue perpendiculaire à la rue de l'Amiral Linois)

"Tours", on n'est quand même pas loin du camp de Romorantin. Ou plutôt du camp de Gièvres.

Excellent article d'Alain Vildart dans La Nouvelle République :

"Commençons la visite par la base aérienne de Pruniers, dite D273, où nous accueille le responsable de la communication...Jean-Dominique Métais, et Nicolas Xavier, un militaire que passionne l'histoire."

Marie-Louise Priser, elle, elle est née à Saint-Marc le 8 octobre 1895.

Hilaire Métais a divorcé et épousé Marie-Louise le 9 novembre 1920 à Brest.

Il était divorcé depuis le 23/6/1920, jugement transcrit à Tours le 28/9/1920. Il a pas perdu de temps pour se remarier avec Marie !

Qui c'est ?

C'est l'plombier...

On a passé l'après-midi hier dans les archives départementales de la Vienne.

Tout ça pour apprendre ce matin que La Marie, elle était morte le 25 novembre 1965 à Château-Gontier (Mayenne)

"En 1925, le couple Métais/Priser quitte Brest pour Villedieu-les-Poêles" me précise-t-on.

En 1930 le gars Métais a obtenu son permis de conduire malgré un état général médiocre (52 kilos pour 1,69 mètre).

En 1931 il résidait à Château-Gontier. Où il est mort (acte décès à venir)

Donc exit l'hypothèse de la petite retraite heureuse à Lencoître.

Oui mais...

Il y a eu un Emile Métais, boucher à Lencloître en 1912.

Boucher à Cernay le 4/6/1906 dans l'acte de naissance de sa fille Renée Alice.

Boucher de Lencloître dans l'acte de mariage de son frère le 31 août 1909.

Et c'est son fils Robert Métais qui lui a succédé.

La boucherie est désormais au numéro 14 de la Grande Rue.

Au numéro 10/12 c'est la famille Fortuné qui tient la boutique depuis des générations et des générations. Cordonniers d'abord. Puis "Faîences, Verreries, Linges de maison, Mercerie, Bonneterie, Laines à tricoter".

Et là, je verrais bien Mme Bataille y bosser.

Son patron aurait pu (conditionnel) être Alexandre Fortuné (1886 - 1975).

Parce que, souvenez-vous :

"En octobre 1979, un confrère avocat, Me Etienne Gouvernel, me fait savoir qu'il veut me rencontrer pour me remettre officiellement le cahier annoncé par Mme Bataille. Il me confie ce document d'une centaine de pages le 12 novembre 1979. Je le lis avec le plus grand étonnement. Mme Bataille y raconte que, jeune employée dans la boutique de M. et Mme A, commerçants à Lencloître (Vienne), elle a assisté les 19 et 20 décembre 1948 à une scène surprenante. Guillaume Seznec s'est déplacé de Bretagne pour rencontrer son patron, M. A, compagnon de la guerre de 14-18. Il venait rechercher la malle qu'il lui avait confiée en mai 1923 et qui contenait pas moins que le cadavre de Quemeneur et différents papiers. Quemeneur serait mort accidentellement à Paris ou dans la région parisienne, à la suite d'une dispute ayant mal tourné avec Gherdi que Mme Bataille qualifie de "vendeur" et de "Français d'origine syrienne". S'estimant responsable de cette tragique rencontre, Seznec aurait décidé de placer le cadavre au fond d'une malle et de cacher celle-ci chez M. A, dans une pièce au-dessus de son garage, en envisageant de venir la rechercher quinze jours plus tard pour l'enterrer à Plourivo. Son arrestation ne lui aurait pas permis de le faire. Les retrouvailles de Seznec et de M. A en 1948 ont lieu devant Mme Bataille, jeune fille âgée alors de 18 ans, pour qu'elle puisse, selon les deux hommes, témoigner plus tard de ce qu'elle a vu et entendu. Seznec indique l'endroit de Bretagne où il envisage, dans un puits spécialement creusé, d'enterrer la malle funèbre. Il repart le lendemain 20 décembre 1948 et revient au début de janvier 1949 pour emmener en Bretagne, en voiture, la malle et son contenu."

De l'autre côté, au numéro 16, il y avait un magasin de cycles "Foucteau" (ndlr Guillaume avait bien commencé sa carrière dans les cycles Alcyon, non ?)

Ce qui est important c'est le porche. Entre les deux magasins. Car, d'une part, on peut y entrer en voiture. Et d'autre part, il peut aboutir au local décrit par Mme Bataille comme "au-dessus du garage".

Emile Métais avait l'un de ses frangins : Alphonse Eugène, né le 16 mars 1876 à Doussay, classe 1896 n°555 qui fut au 2è rgt d'artillerie coloniale à... Brest !

(ndlr Seznec fait son service à Brest du 14 septembre 1899 au 22 septembre 1900. Et notre Alphonse Métais n'est envoyé en congé que le 23 septembre 1900. Se sont-ils connus #jeposequestion

On va même aller jusqu'à faire une supposition supplémentaire, bien lire le mot "supposition" : Seznec se marie le 18/7/1906 à Plomodiern et Alphonse Métais fait une période d'exercice à Brest du 1/7 au 28/7/1906. Invité au mariage ?)

Alphonse, lui, s'était marié le 12 juillet 1904 à Doussay (86), présents au mariage ses frères Émile et Octave, tous les deux bouchers. Lui, était cultivateur.

Sur le recensement Lencloître 1901 figure en bonne et due forme une boucherie au 10 Grande Rue !

La patronne est une certaine Arthurine Vaucelle. Epouse Dechêne.

Dont le mari Auguste Louis est décédé le 28 avril 1896.

Ce qui expliquerait la reprise de la boucherie par Emile Métais.

Car.....

Une phrase me revient pour l'histoire de la malle :

"Le cadavre de Quemeneur serait en effet resté pendant 25 ans (ndlr de 1923 à 1948 !) au-dessus du garage. L'explication donnée par Mme Bataille est assez stupéfiante : à côté de ce bâtiment se trouvait une boucherie d'où émanaient parfois de mauvaises odeurs !"

Même famille ?

Juste là, où le hasard veut que dame Bataille, âgée de 18 ans, dit avoir rencontré Guillaume Seznec.

Bon.

Allez vite relire "La malle baladeuse" pour comprendre ce que j'écris.

Je précise que je ne suis sous influence d'aucune substance : ni drogue (douce ou dure), ni alcool, ni médicament.

Alors cernons les éléments d'information les uns après les autres.

1/ La Marie Priser dactylographie la première série des promesses de vente le 22 mai 1923. Alors que nos deux compères s'envoient un apéro rue de Siam.

2/ Hilaire Métais est le pote, l'unique, le seul, l'incomparable. Celui qui est de toutes les bonnes et les mauvaises combines.

M'enfin un pote un peu lâche quand même quand il balance aux argousins, le 10 septembre 1923 - que Guillaume lui a demandé un faux témoignage - via son chauffeur Samson - pour son emploi du temps du 13 juin (lire chez Bernez Rouz en page 107 et en note 222)

Des Métais y'en a de quoi faire péter les reliures des livres d'archives de la Vienne !

Ainsi, on s'est farci tous les mariages des gars Métais.

Seulement, parfois, il n'y a que le premier mariage d'indiquer sur l'acte de naissance. Et les autres : walou !

On s'est aussi dit qu'il avait peut-être changé de prénom ???

On s'est surtout dit : faut pas se décourager, ça va venir.

Au moment où on s'y attend le moins.

Parce que, je vais vous dire clairement, dans l'histoire de la malle de Lencoître, ce qui m'avait intriguée c'est :

1. D'une part, l'obstination de Madame Bataille.

Qui est saine d'esprit. Pour preuve, Petit-Fils Premier n'a jamais appelé ses potes de la télé pour qu'elle cause dans le micro.

Non seulement elle est saine d'esprit mais elle est commerçante à Sancergues.

Où elle tient un "Radar".

Et, comme fille de commerçante, je peux vous dire qu'ils n'aiment pas beaucoup qu'on parle d'eux dans des affaires pas nettes.

Parce que c'est pas bon pour le commerce, pardi !

2. D'autre part Petit-Fils Premier nous pique une colère mémorable

Car, pendant ce temps-là, la petite mère Bataille, elle a engagé un avocat.

Qui a vainement tenté d'intéresser Petit-Fils Premier à l'histoire.

"Vainement" ? Tiens ? Pourquoi ?

Elle ne désespère pas pour autant et écrit à Bernard Le Her.

Enfin elle fait une telle émeute que finalement Petit-Fils Premier flanqué de son aîné et de son avocat Maître Langlois descendent la voir à Sancergues.

Et qu'est-ce qu'il se passe au retour ?

Et bien comme d'hab, Petit-Fils Premier ne sait pas se contrôler et pique une terrible colère dans la bagnole contre son frère Bernard qui, après les révélations de dame Bataille, a osé faire creuser - sans permission écrite - du côté de Riec-sur-Belon. Là où le grand-père était parti résider une petite année d'octobre 1947 à octobre 1948.

C'est connu. Plus grande est la colère... Plus grave est l'indice à cacher...

Parce que, dans cette hypothèse, Saint-Guillaume-Priez-Pour-Nous il était un peu encombré avec un mort sur les bras.

Serait-ce l'explication pour laquelle il n'aurait jamais quitté sa Cadillac ?

Aurait-il (conditionnel) appelé à son secours Gherdi (1) à Paris ?

Qui, lui, se serait ramené avec une malle. Et une voiture qui roulait correctement.

Quoi de plus naturel pour un voyageur que d'avoir une malle. Qui n'était peut-être pas de la grosseur que le dessin reproduit en tête de mon article.

Parce que Gherdi, lui, Romorantin et la Vienne, il connaissait...

Ou Métais à Brest ? Puisque le dit Métais avait de la famille du côté de la Vienne.... Juste assez loin pour qu'on perde toute trace.

Souvenez-vous de ce détail intéressant que le Grand Père nous sort dans ses cahiers (traîtreusement vendus à Radar) :

"A petite allure, j'ai gagné Pré-en-Pail. Complètement exténué, je suis allé me coucher à l'Hôtel de France. J'y suis resté toute la journée du lendemain. Si mes souvenirs sont exacts, cela se situe dans les journées du samedi 26 et dimanche 27 mai."

Quand Guillaume ne veut pas dire ce qu'il a fait, il nous joue toujours "le grand fatigué". Il avait déjà dormi toute la nuit du 25 au 26 dans la Cadillac (bien malin celui qui trouvera ce qu'il a bien pu faire en vrai) et aussi toute la matinée du 26 à l'hôtel Nourrisson de la Queue-les-Yvelines (d'où il pouvait téléphoner).

Un grand dormeur, je vous dis....

Car il est malin, Guillaume. Bien plus malin que certains qui ont écrit sur cette affaire. Et il a un réseau, comme on dit aujourd'hui.

Ben oui, le traficotage en tous genres, ça créée des liens. Pas toujours des bons liens. Mais des liens. Et un carnet d'adresses.

Enfin, on va attendre un peu pour balancer cet article au grand public.

Attendre que cet article soit terminé.

Mais j'ai pris les risques du "direct" hier devant vous.

J'avais - fort heureusement - ajouté "hypothèse" et "conditionnel" à tous les coins de mon article.

Je serai critiquée ?

Oui, bien sûr.

Je le suis toujours.

Mais mieux vaut être critiquée et faire quelque chose que critiquer et ne rien faire.

Liliane Langellier

(1) J'ai toujours pensé (je rappelle ici que le JE ne concerne que ma petite personne pas l'Histoire avec un grand H) que Guillaume connaissait Gherdi.

Et qu'il ne l'avait volontairement pas balancé.

C'est quand il est au Dépôt de Saint Martin de Ré.

C'est quand il sait qu'il peut partir au bagne du jour au lendemain. Qu'il écrit à Marie-Jeanne, le 16 août 1925, où elle peut trouver l'adresse du café "Au Tambour" où ils se retrouvaient.

P.S. J'ai donc repris une "enquête de terrain". Et ça, c'est un vrai bonheur !

J'ai déjà confirmation de ce que je pensais : Mme Bataille n'était pas riche. Et elle prend un avocat pour se faire entendre de Petit Fils Premier. Qui ne l'écoute pas.

Cherchez l'erreur !

La mairie de Lencloître vient de - très aimablement - me répondre :

"Sous réserve, voici la liste des commerçants présents dans la Grand’Rue à Lencloître en 1948 :

  • Guérin : radio-TV
  • Garage Lefevre
  • Guillard : tabac – épicerie
  • Métais : boucherie
  • Fortuné : objets, bazar, maroquinerie, ...
  • Daracq : cycles
  • Coquilleau : vêtements
  • Jamin : chapellerie
  • Decourt : épicerie
  • Reignier : charcutier
  • Lochon : épicerie (les docks de France)
  • Moreau : chaussures
  • Lebeau : bijouterie
  • Foucteau : cycles
  • Foucteau : plomberie – chauffage

- Dancre : pharmacie."

J'ai, d'autre part, trouvé les coordonnées Google+ et Facebook de la fille de Madame Bataille.

J'ai laissé des messages aux deux endroits.

Maintenant, c'est à elle de voir...

Affaire Seznec : Qui c'est ? C'est l'plombier !
Mariage Métais / Priser le 9 novembre 1920 à Brest.

Mariage Métais / Priser le 9 novembre 1920 à Brest.

Hilaire Métais. Registre Matricule. Marie Priser. Acte de Naissance. Et Acte de décès.
Hilaire Métais. Registre Matricule. Marie Priser. Acte de Naissance. Et Acte de décès.
Hilaire Métais. Registre Matricule. Marie Priser. Acte de Naissance. Et Acte de décès.

Hilaire Métais. Registre Matricule. Marie Priser. Acte de Naissance. Et Acte de décès.

Les mariages d'Hilaire...

Les mariages d'Hilaire...

Lencloître recensement 1901. Avec Arthurine Vaucelle, bouchère, au 10 Grande Rue. Aucun recensement après 1901 numérisé aux AD Vienne.

Lencloître recensement 1901. Avec Arthurine Vaucelle, bouchère, au 10 Grande Rue. Aucun recensement après 1901 numérisé aux AD Vienne.

Lencloître. Boucherie Dagouet.

Lencloître. Boucherie Dagouet.

Lencloître. La Grande Rue...

Lencloître. La Grande Rue...

Lencloître. Toujours la Grande Rue...

Lencloître. Toujours la Grande Rue...

Lencloître. La boucherie du 14, Grande Rue. Sur Google Street View en 2011.

Lencloître. La boucherie du 14, Grande Rue. Sur Google Street View en 2011.

Lencloître. La boucherie en septembre 2014.

Lencloître. La boucherie en septembre 2014.

Alphonse Métais. Registre Matricule.

Alphonse Métais. Registre Matricule.

Guillaume Seznec. Registre Matricule.

Guillaume Seznec. Registre Matricule.

Lencloître. On voit les crochets de boucher au mur, sur la gauche...

Lencloître. On voit les crochets de boucher au mur, sur la gauche...

Lencloître. C'est au niveau du rideau qu'est le porche à droite...

Lencloître. C'est au niveau du rideau qu'est le porche à droite...

On voit bien le porche et les magasins...

On voit bien le porche et les magasins...

Lencloître. Mercerie au 10-12 grande rue en 1968.

Lencloître. Mercerie au 10-12 grande rue en 1968.

Lencloître. Le magasin de vélos sur la gauche...

Lencloître. Le magasin de vélos sur la gauche...

Nota Bene

Je rappelle que d'après mes recherches en 2003 à la "Washington Library of Congress" Francis Gherdi fut le chauffeur du consul des Etats-Unis : Alexander Montgomery Thackara. Consul à Paris du 18 septembre 1913 au 1er juillet 1924.

Thackara était le gendre du général Sherman qui, à la fin de la guerre de Sécession, était le big boss de l'armée des Etats-Unis.

C'est rien de dire qu'il avait des appuis le pote Gherdi !!!!!!!

Et on comprend alors mieux pourquoi Guillaume l'aurait bouclé. Et perdu la mémoire sur le lieu où il le rencontrait pour son trafic de Cadillac dans les années 1919/1920 (Café Au Tambour à Paris).

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L
Message à la nana - que j'ai très bien reconnue - et qui écrit sous &quot;artisan serrurier&quot; :<br /> &quot;Si tu avais trouvé la clé de l'histoire,<br /> ça se saurait.....&quot;
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